Suite à l'inauguration récente à la ZA Laseris, je me dois de réagir suite à 2 articles.
2 articles parus dans les journaux locaux, le journal Sud-Ouest et La Dépêche du Bassin.

2 articles bien différents dans leur finalité à l'énoncé de l'objectif de ce projet nouvellement inauguré.

Sud-Ouest évoque le besoin en eau de la zone d'activité.

La Dépêche du Bassin (qui fait parler notre maire Christiane DORNON) évoque la croissance démographique de la commune.

Surprenant tout cela, mais quand on réfléchit un peu, on ne peut que se poser des questions sur certaine déclaration faite à cette occasion par notre maire, Mme DORNON.

En fait, c'est sous la pression de Gilles SAVARY, président de la SEML, mais à l'époque candidat-député, que Mme DORNON a entrepris cette réalisation à grands frais.

Dans un courrier daté du 08 juin 2012, il l'a menacé "de recours judiciaire si une entreprise implantée sur la zone venait à manquer d'eau à compter de septembre" ( 2012).

Gilles SAVARY n'y a pas hésité de soulever d'elle "son état d'esprit et son agressivité politique".

Je reste toutefois dubitatif sur la déclaration de Mme DORNON car ce projet a vocation essentielle de satisfaire les besoins en eau de la seule zone Laseris 1, souligne le rédacteur de l'article de La Dépêche du Bassin, confirmé par celui du journal Sud-Ouest qui, eux, ont bien rapporté les raisons de ce projet.

Christiane DORNON a-t-elle tenté de sauver les apparences lors de son discours ou alors, quelle est sa vocation essentielle ?

Liens :

Journal Sud-Ouest

La Dépêche du Bassin

L’Appel du comité central de la garde nationale le 25 mars 1871 est un appel à la vigilance et à la réflexion émis par le Comité central de la Garde nationale et diffusé par affiches aux électeurs parisiens la veille des élections municipales pour le 26 mars.

Cet appel a été lancé lors d'une période insurrectionnelle de l'histoire de Paris appelée la Commune de Paris. La Commune de Paris dura deux mois, du 18 mars au 28 mai 1871 (pour s'achever par la Semaine sanglante du 21 au 28 mai). Cette insurrection contre le gouvernement investi par l'Assemblée nationale, qui venait d'être élue au suffrage universel masculin, ébaucha pour la ville une organisation proche de l'autogestion. Elle fut, au départ, principalement une réaction à la défaite française lors de la Guerre franco-allemande de 1870.

Le Comité central de la Garde nationale a tenu un rôle majeur dans l'organisation de la révolte. Quelques semaines après son installation à l'Hôtel de Ville, le Comité avait organisé des élections municipales pour le 26 mars.

Le texte de l'appel

« CITOYENS

 

Notre mission est terminée: nous allons céder la place dans votre Hôtel-de-Ville à vos nouveaux élus, à vos mandataires réguliers. Aidés par votre patriotisme et votre dévouement, nous avons pu mener à bonne fin l'œuvre difficile entreprise en votre nom. Merci de votre concours persévérant ; la solidarité n'est plus un vain mot : le salut de la République est assuré. Si nos conseils peuvent avoir quelque poids dans vos résolutions, permettez à vos plus zélés serviteurs de vous faire connaître, avant le scrutin, ce qu'ils attendent du vote aujourd'hui.

 

 

CITOYENS

• Ne perdez pas de vue que les hommes qui vous serviront le mieux sont ceux que vous choisirez parmi vous, vivant votre propre vie, souffrant des mêmes maux.

• Défiez-vous autant des ambitieux que des parvenus ; les uns comme les autres ne considèrent que leurs propres intérêts et finissent toujours par se considérer comme indispensables.

• Défiez-vous également des parleurs, incapables de passer à l'action ; ils sacrifieront tout à un discours, à un effet oratoire ou à un mot spirituel.

• Évitez également ceux que la fortune a trop favorisés, car trop rarement celui qui possède la fortune est disposé à regarder le travailleur comme un frère.

• Enfin, cherchez des hommes aux convictions sincères, des hommes du Peuple, résolus, actifs, ayant un sens droit et une honnêteté reconnue.

• Portez vos préférences sur ceux qui ne brigueront pas vos suffrages ; le véritable mérite est modeste, et c'est aux électeurs à choisir leurs hommes, et non à ceux-ci de se présenter.

• Nous sommes convaincus que, si vous tenez compte de ces observations, vous aurez enfin inauguré la véritable représentation populaire, vous aurez trouvé des mandataires qui ne se considèreront jamais comme vos maîtres. »

— Hôtel-de-Ville, 25 mars 1871, le comité central de la Garde nationale

ET AUJOURD'HUI ?

Pas grand chose ne peut être considéré comme différent. Sauf bien évidemment à considérer le mot "hommes" comme s'apparentant à Etre Humain et comme étant des hommes et des femmes soucieux de la vie collective.

Dans un article publié le 29 mars dans le journal Sud-Ouest, les municipales seraient dans le viseur d'Objectif Le Barp : LIEN

Je suis outré par la lecture de cet article.

Peu de personnes finalement à cette assemblée, beaucoup de blabla, des dossiers suivis par OLB mais qui n'avancent pas, dont celui du collège.

Où en est donc le prétendu bilan d'OLB ?

OLB entend "Partir à la découverte du Barp" : Il ne connaît donc pas la commune !

"Une majorité de gauche" ? Ce n'est que permettre d'encourager à faire de la politique au sein même de la commune.

Et on a vu ce qu'a donné la politique sous Mme BORN (2001-2006), parti socialiste.

D'ailleurs, certains d'OLB faisaient déjà partie de l'équipe BORN au conseil municipal.

Faire de la politique à l'échelle de la commune, c'est une chose à laquelle je n'aurais pas pensé !

A l'échelle de toute collectivité, on doit faire de la gestion de projet.

Pour finir, je participe aussi au collectif "Pour un collège au Barp".

Je peux affirmer qu'OLB n'a rien fait, ni ne fait rien de collectif.

Pour ce qui concerne le collège à Le BARP(*), OLB se retranche derrière la position du Conseil Général ... puisque ce dernier est de gauche.

Les municipales dans le viseur ?

Pour quel objectif ?

(*) Ayant contesté le Conseil Général jusqu'à prétendre que "sa" décision d'implantation de collège à MIOS a été prise de manière illégale, OLB refuse de m'aider. Je me retrouve même bien seul …… au sein de ce collectif qui, finalement, n'a pas grand chose de collectif.